Jacques VICH – Texte de Robert COMBES
Être bref pour parler de jacques VICH cela fait partie des coulisses de l’exploit !
Jacques VICH toucha ses premiers ballons au GAZ ELEC (club comme tant d’autres n’existant plus) sous la houlette du père Méhaut qui lui demanda aussi d’arbitrer sa première rencontre ! Cadet il reçut une convocation pour arbitrer St Nicolas de la Balerme contre l’Amicale Laïque d’Agen ! André Cochet et Raymond Savy présents à la rencontre l’incitèrent à suivre le stage de jeune arbitre avec monsieur Guoat et tout de suite il fût désigné pour siffler avec des arbitres chevronnés tel que Mercanton, Sengenes, Lucuona, Cocuet, Cochet, Boyer. A 23 ans il rencontre au Scating Palace, dancing où tous les joueurs aimaient se retrouver, une certaine Nicole qui deviendra sa femme et qu’il suivit à Estillac. Malgré sa profession de responsable d’un grand garage, son désir de répondre toujours présent aux convocations d’arbitrage, il trouva quand même le temps d’avoir deux beaux garçons, Nicolas et Bastien, qui furent eux aussi de bons joueurs de basket. A partir de là tout s’enchaine, il devient entraineur, sans jamais cesser d’arbitrer et Raymond Savy lui demande de prendre les fonctions de Président de la commission des arbitres. Toujours encouragé par Raymond Savy (son mentor) il passe avec succès son examen d’arbitre régional et il se promena dans toute l’Aquitaine et Midi-Pyrénées, cela grâce à la profession de son épouse souvent occupée en tant qu’aide-soignante à l’hôpital d’Agen et surtout grâce à sa compréhension et à sa gentillesse.
Mais Jacques ne s’arrêtera pas là et avec ses copains Accary, Royère, De Brito il gravit un autre échelon, en devenant arbitre inter-régional ! Vous allez me dire que ce garçon avait des qualités ! Non, malheureusement il avait toujours le temps ! Jean-Claude De Brito peut vous parler d’un match qu’ils ont ensemble arbitré à Rodez où ils eurent le temps de se changer et de commencer la rencontre sans vérifier la feuille de match ! mais ce fût parait-il la seule fois !
Ceci n’est rien par rapport à sa gentillesse, à sa disponibilité, à son dévouement et aux services rendus à notre fédération.
Pour tout cela, tu mérites et on te souhaite la bienvenue parmi les Académiciens.